« Ivy si tu lis cette lettre c’est que tu viens d’avoir tes dix-huit ans, je me présente je suis Lydia ta véritable mère. Je ne sais pas ce que tu es devenue, je ne le chercherais sans doute jamais. Aujourd’hui je t’écris pour te donner les raisons qui m’on poussé à t’abandonner. Tu as du le savoir par ta famille d’adoption, tu n’étais pas voulut. Je n’étais qu’une enfant tout comme toi actuellement. C’était l’histoire d’une nuit, une simple nuit de plaisir charnel avec un inconnu. Après cette phrase je me doute que tu vas avoir envie de me traiter de tout les noms et je le comprends mais je n’aurais pas pu t’élever alors j’ai fais ce qui me semblait juste. T’abandonner, te donner à une bonne famille qui eux voulaient vraiment un enfant. Tu étais si belle, si fragile que je ne pouvais me résigner à t’emmener avec moi dans ma déchéance. Tu peux m’en vouloir mais j’ai fait ça pour ton bien.

Ta mère »


La jeune femme regarde une dernière fois la lettre tachée de café et la chiffonne direction la poubelle. Peut importe qui est cette femme, peut importe les raisons ni elle ni moi avons besoin l’une de l’autre. Ivy se plonge dans un livre qu’elle aimait lire petit « Alice aux pays des merveilles », un véritable bonheur cette histoire, ses parents deux hommes lui racontait cette histoire chaque soir avant qu’elle s’endorme et chaque soir elle se sentait revivre. Ivy fouille ses affaires, trouve la fameuse boîte à souvenirs, des souvenirs d’enfance, d’adolescence marquant la fin d’une vie à Londres. Elle y trouve des photos d’elle petite avec des annotations de ses pères. Sa première nuit, ses première dents, apparemment elle avait souffert le martyre, la première fois qu’elle à tenu elle-même son biberon avec un mot derrière la photo « Notre petite est très débrouillarde pour son âge. » Elle fait basculer les pages, passe par son énorme gâteau d’anniversaire pour ses un an. Puis son premier pipi au pot avec encore une annotation « Précoce. » Son enfance elle n’en a pas grand souvenirs comme tous les enfants. Elle se souvient de sa première rentrée scolaire, les premières moqueries sur ces lunettes bien trop grosses pour son petit visage, ses premières bonnes notes, les moqueries et interrogation de ses camarades de classes sur ses parents. Elle se souvient avoir était une enfant sage et intelligente également très précoce pour son âge, elle se souvient sa maîtresse lui ayant donné des bons points, de son premier bisous d’amoureux. Elle se souvient du manque d’une mère, elle se souvient de son premier vélo rose et du nombre d’écorchures sur ses genoux à force de tomber pour ne plus avoir ses fameuses petites roulettes. Ses souvenirs flous sont pourtant les meilleurs. Elle se souvient combien elle était heureuse et aimé.

Ivy a grandit dans un monde plus que généreux avec elle, un monde ou tout lui sourit. L’école primaire c’est bien passé, le collège fut un grand moment, avec de nombreuses photos de cette période. Au moment du lycée il n’y a plus beaucoup de photos, il y a des lettres de ses amis, des mots d’amour, des préservatifs donné par le lycée par préventions, il y a ses paquets de clopes et son premier joints parfaitement roulé. Il y a son plus vieux appareil photo, ses premières photos, des autoportraits ou on voit une jeune fille blonde souriante avec de beaux yeux bleu. Il y a sa vielle chemise porte bonheur qu’elle portait au bac. Il y a une photo d’elle avec un garçon s’embrassant puis une autre avec une jeune fille, Ivy sourit, elles s’embrassent également. C’est au lycée qu’elle a prit la décision d’annoncer a ses papa qu’elle était bisexuelle, elle craignait une dispute bien qu’ils puissent la comprendre. Tout c’était bien passé et à ce souvenir elle ne put que sourire d’avantage. Ivy ferme la boîte a souvenirs et décide de la mettre dans les cartons « a prendre ».
Le soir au dîner, ils discutent tous le sourire aux lèvres. Ses pères sont fiers d’elle, il la couvre de cadeau, un nouvel ordinateur ainsi qu’une nouvelle carte de crédit. La raison de cette carte : L’indépendance.

En effet Ivy est assez grande pour ce rendre au USA, seule. Elle avait reçut quelques semaines plus tôt sa lettre d’admission pour l’université de ses rêves ou elle pourrait étudier la photographie, son art c’est son appareil photo. Depuis des années elle se sent vivre grâce à cet objet. Alors ce soir quand ses pères lui offre cette carte de crédit elle sait très bien que c’est parce que des demain elle pourra découvrir une nouvelle ville et avoir une nouvelle vie.
Demain c’est le grand départ et elle ne sait pas ce que lui réserve cette ville, elle entre en troisième année ayant déjà suivit des cours a Londres, elle laisse ses amitiés et amours derrières elle pour enfin profiter de la vie. Oublier les soucis qu’elle a put avoir en fin d’année, oublier le mal être qu’elle a put ressentir et vivre à nouveau.

La luxure, pour Ivy ce n’est pas un problème en soit, elle préfère avoir le pêché de luxure plutôt que de colère. Bien sur elle passe souvent pour la « marie couche toi la de service » mais ce n’est pas véritablement un problème pour elle. Ivy est du genre « je m’en fou de ce que vous pouvez bien penser de moi. Mais attention je mords » Ivy reconnait que ce pêché peut être un handicap, elle ne se retient pas, en a besoin. Besoin de la chair d’hommes ou de femmes, besoins de plaisirs différents de ceux de ce bas monde. Elle s’est beaucoup sentit à part quand elle a comprit que ce pêché était le sien, personne ne la comprend. Un soir elle était de soirée et elle a eut des plaisirs charnelles avec de nombreuses personnes, en même temps, l’un après l’autre, c’était pour elle comme une pulsion bien sur elle s’est sentit sale au début mais finalement elle ne fait rien de mal à personne. Au contraire même. Bien sur parfois c’est dur car elle fait beaucoup de mal, elle a trompé des personnes, pousser certains à se battre entre eux, détruit des couples, des amitiés mais c’est ainsi et que faire ? Arrêter impossible, alors oui parfois Ivy trouve que ce pêché lui gâche la vie, parfois c’est insoutenable notamment quand elle se prend des gifles ou reçoit des menaces. Mais c’est son plaisir… elle ne peut rien faire contre ça …

Dans la vraie vie, mon pseudo c'est : Illia v.Mastrid. Je suis de sexe féminin et je vis en France. J'ai 20 ans. Je suis actuellement en études de psychologie et je peux me connecter facilement 6j/7. Quand j'ai vu le forum, je me suis dit YOUPIE. Si je veux un parrain ? oui ou .